jeudi 30 mai 2013

Vous, que j'aime...


Mon cher Maître,

J'ai tant besoin de vos gestes qui me manquent... Tant besoin de ce collier... De cette laisse que vous tenez... Et pourquoi pas de chaînes m'attachant, me liant à vous !
Il ne me suffit que d'une heure, une minute sans ressentir mon appartenance pour me rendre si triste, je suis à vous, je ne vis que par vous, pour vous, pour nous... Vous êtes en quelque sorte, ma raison de vivre, de me battre...

"L'émoi de épuisement après vous avoir servit, le vertige de nos souffles se mêlant à votre bestialité..."

J'ai besoin, car oui, c'est devenu un besoin, d'être dominée chaque jour, de ressentir votre grandeur, grandeur dans mon cœur, dans mon corps, dans mon esprit !
Sentir cette fierté si particulière d'être vôtre... D'être devenue femme grâce à vous...



Afin de ressentir : "Le frisson de l'anéantissement,..."

(Car c'est si beau lorsque vous éprouvez du plaisir !)

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